Aurélien Police

Lauréat du prix Locus du meilleur recueil de nouvelles 1983, Les quatre vents du désir est un ouvrage d’Ursula K. Le Guin paru initialement en 1982 puis en français dès 1988 chez Pocket. Les éditions Le Bélial’ ont décidé de redonner un souffle à ce recueil en révisant les traductions par Erwann Perchoc et en l’accompagnant d’une préface de David Meulemans, d’un entretien d’Hélène Escudié avec l’autrice réalisé en 1982 (traduction d’Igor Kazmierski) et d’une bibliographie d’Ursula K. Le Guin par Alain Sprauel. Cette nouvelle édition dans la collection Kvasar est parue le 21 avril dernier. Il s’agit d’une totale découverte pour moi et voici ce que j’en ai pensé…

Le 17 septembre dernier, A cosmology of monsters, premier roman de Shaun Hamill paraissait en VO. Et grâce à Albin Michel imaginaire, il ne faut attendre que le 2 octobre prochain pour le découvrir en français sous le titre Une cosmologie de monstres. Très attirant, mêlant soit-disant du H.P. Lovecraft avec du Stephen King, c’est un titre que j’ai repéré depuis quelques mois et que j’avais très hâte de découvrir. Il est temps de découvrir si la rencontre a été à la hauteur…

En ce moment, et ce jusque fin octobre (dans la limite des stocks disponibles), les éditions Le Bélial' offrent un hors-série pour l'achat de deux ouvrages de leur collection Une Heure-Lumière. Ce dernier contient une interview de l'illustrateur Aurélien Police qui réalise les couvertures de la collection, un édito du directeur Olivier Girard, expliquant la genèse de Une Heure-Lumière, le catalogue de la collection et une nouvelle inédité signée Ken Liu qui est intitulée Sept anniversaires. J'ai bien évidemment craqué pour ce dernier argument, et j'ai eu envie de vous faire une brève critique de la courte nouvelle que cet hors-série contient, ainsi que de l'ensemble des contenus. 

En 2017 j’avais découvert l’écriture de Ken Liu avec Le Regard, un techno-thriller, publié dans la collection Une Heure-Lumière chez les éditions Le Bélial’, parfaitement maîtrisé en une centaine de pages. Puis Sandy du blog « Je ne sais point lire » a publié son avis sur L’homme qui mit fin à l’histoire, du même auteur, dans la même collection et elle m’a convaincu qu’il me fallait poursuivre ma découverte de Ken Liu. Ce roman court de science-fiction a été publié en 2016 chez Le Bélial’ et voici ce que j’en ai pensé…