Glénat

Grâce à un tome 1 paru en août et un tome 2 paru en octobre chez Glénat, le dytique BD Labyrinthus est au complet! Avec son scénario signé par Christophe Bec et le dessin signé par Fabrice Neaud, Labyrinthus est une duologie de thriller de science-fiction aux accents horrifiques et apocalyptiques. Et voici ce que j’ai pensé de ces deux tomes…

Alors que son auteur, Hubert, est malheureusement décédé en début d’année, sa dernière bande-dessinée Peau d’homme est parue en juin chez Glénat dans la collection 1000 feuilles. Illustrée par Zanzim, Peau d’homme est un one-shot se déroulant dans l’Italie de la Renaissance qui s’inspire du conte Peau d’âne en donnant à une jeune fille une peau de jeune homme à revêtir. J’étais évidemment très intriguée par ce titre dont on entend déjà beaucoup de bien, et voici donc ce que j’en ai pensé…

Publié en 2017 dans la collection Vents d’ouest de chez Glénat, la BD Edelweiss est une histoire fictionnelle basée sur des faits et des personnes réelles. Le scénario est de Cédric Mayen et le dessin ainsi que la couleur est de Lucy Mazel. Cette BD a remporté le prix spécial du Jury Jacarbo 2018 ainsi que le Prix la BD est dans presse Jacarbo 2018. Ma collègue me l’avait vivement conseillé et voici donc ce que j’en ai pensé…

Je terminais 2018 par la découverte des deux premiers tomes fabuleux de Bergères guerrières de Jonathan Garnier et Amélie Fléchais. C’est donc avec beaucoup de plaisir que je me suis plongée dans le tome 3, Le Périple, publié chez Glénat. Et voici ce que j’en ai pensé…

Après l’immense succès de Ces jours qui disparaissent, Timothé Le Boucher revient avec un nouveau one-shot publié en avril dernier dans la collection 1000 feuilles des éditions Glénat. Intitulé Le Patient, il s’agit d’un thriller psychologique dont le résumé m’a tout de suite interpellé. Et voici ce que j’en ai pensé…

Pour bien terminer l’année, j’ai eu envie de découvrir la série de bande-dessinée Bergères guerrières écrite par Jonathan Garnier et illustrée par Amélie Fléchais. J’ai donc lu le tome 1 et 2, publiés respectivement chez Glénat en 2017 et 2018. Et voici ce que j’en ai pensé (avis sans spoiler)…

Basée sur le récit d’Apollo, rédigée par Christophe Cassiau-Haurie et mise en lumière par les illustrations de Barly Baruti, la bande dessinée Madame Livingstone a été publiée en 2014 chez Glénat. Il s’agit d’un récit né d’un désir de recherche d’origine et d’une volonté de raconter un épisode de la Première Guerre Mondiale au Congo, zone souvent oubliée des livres d’histoire consacrés à la Grande Guerre.

Il y a peu, les éditions Glénat ont eu l’idée géniale de lancer la collection BD H. G. Wells visant à adapter les oeuvres majeures et fondatrices de ce grand maître de la science-fiction. Prometteur mais aussi dangereux de s’attaquer ainsi à des classiques sous un nouveau format… J’ai décidé de me faire mon propre avis, envoûtée déjà par la couverture, avec La Machine à explorer le temps, premier roman de H.G. Wells publié en 1895 et ici adapté pour le scénario par Dobbs et aux illustrations réalisées par Mathieu Moreau.