Fantastique

Parmi les titres de la rentrée littéraire de septembre, les éditions du Seuil dans la collection Cadre noir ont publié le nouveau roman de Catherine Dufour intitulé Au bal des absents. Ce roman fantastique horrifique à base de manoir hanté a reçu un bel enthousiasme côté critiques (par exemple chez Lune, ou Le dragon galactique) à tel point qu’il est remonté dans ma PAL (à coups de binette!) pour passer devant les autres livres. Et voici ce que j’en ai pensé…

Après avoir été bercée par la superbe trilogie À la croisée des mondes de Philip Pullman, puis après avoir adoré la lecture du premier tome de la nouvelle série se déroulant dans le même univers, La Trilogie de la Poussière, il m’était impossible de ne pas me jeter sur le tome 2, La communauté des esprits, paru en français le mois dernier chez Gallimard jeunesse. Cette fois, exit le préquel que constituait La Belle sauvage, ce tome 2 se déroule sept ans après les évènements du dernier tome d’ À la croisée des mondes. Et voici ce que j’en ai pensé…

Cet été, si vos aviez envie d’une lecture pleine de mordant, vous pouviez vous tourner sur Carne, le nouveau roman de Julia Richard édité par les éditions de L’Homme Sans Nom. Joliment emballé, et terriblement alléchant dès sa couverture, il a évidemment très vite atterri dans ma pile à lire! Et maintenant que j’ai enfin eu l’occasion d’y goûter, voici ce que j’en ai pensé…

Après les excellents Que passe l’hiver (éditions HSN) et Le garçon et la ville qui ne souriait plus (Lynks), David Bry revient ce mois-ci avec un nouveau roman intitulé La princesse au visage de nuit, publié chez L’Homme Sans Nom. Il s’agit cette fois d’un roman fantastique avec un soupçon horrifique que nous propose l’auteur coup de coeur des Imaginales 2019. Parvient-il aussi à exceller sur ce terrain là? Voici ce que j’en ai pensé…

Alors qu’il devait paraître au printemps, le nouveau roman d’Erin Morgenstern, La mer sans étoiles, fut reporté et sort finalement aujourd’hui 15 octobre en librairie sous l’égide des éditions Sonatine. Roman fantastique et visiblement très bibliophile, La mer sans étoiles m’attirait comme un aimant, non seulement pour l’objet-livre magnifique mais aussi pour son résumé envoûtant. Et voici ce que j’en ai pensé…

Publié le 16 septembre dernier chez Rue de Sèvres, Sœurs d’Ys est une bande-dessinée écrite par Matthew Tobin Anderson et illustrée par Jo Rioux. Celle-ci nous raconte une version de la légende de la ville d’Ys, citée légendaire qui serait engloutie au large du Finistère. La bretonne que je suis a immédiatement craqué pour cette belle proposition et voici ce que j’en ai pensé…

Il y a un an, je découvrais Morgan of Glencoe avec son premier roman Dans l’ombre de Paris, premier chant de sa série La dernière geste qui m’avait enthousiasmé et sincèrement ému (en me provoquant des torrents de larmes pour être honnête ^^). Alors quand le deuxième chant, intitulé L’héritage du rail est paru en septembre chez les éditions ActuSF dans la collection Naos, j’ai trépigné d’impatience tout en craignant de ne pas l’aimer autant que le premier qui, avec le temps, m’avait laissé un souvenir de plus en plus tendre. Voici finalement ce que j’ai pensé de cette suite…

Le premier roman d’Élisa Beiram, Rêveur zéro, a été publié le 24 septembre dernier aux éditions L’Atalante dans la collection La Dentelle du cygne. Il s’agit d’un roman d’anticipation dans lequel l’autrice imagine l’apparition d’une épidémie… de rêves. Il n’en fallait pas plus pour m’intriguer! Et voici donc ce que j’en ai pensé…

Dans la rubrique « Album du mois », c’est un petit album pour les tout-petits (dès 3 ans) qui se glisse ici pour ce mois de septembre. J’ai lu L’arbre-lit, charmant album écrit par Silène Edgar et illustré par Gilles Freluche, publié au printemps chez les éditions indépendantes de La cabane bleue dans la collection « Les histoires ». Voici ce que j’en ai pensé…

Le duo techno-électro Drexciya inventa dans les années 90 une civilisation sous-marine née des femmes esclaves jetées au fond des océans alors qu’elles allaient accoucher. Cette idée a été reprise par le groupe clipping en 2017 pour créer la chanson The Deep, lauréate du prix Hugo. L’histoire a été ensuite reprise par Rivers Solomon cette année avec un roman court traduit sous le titre Les abysses pour une parution Aux forges de Vulcain le 11 septembre prochain. Après mon coup de coeur pour son premier roman An Unkindness of ghosts (L’incivilité des fantômes), voici ce que j’ai pensé de sa version de The deep…